Dès les années 1950, de grands chantiers de génie civil proposent l’implantation des aciéries, des laminoirs à chaud et à froid et d’une cokerie un peu partout en Lorraine et notamment à Florange. Après une période florissante et prospère où la sidérurgie était reine dans la région, de nombreuses usines ferment. Florange n’y échappe pas et perd une partie de ses installations. Il reste cependant encore plus de 2000 personnes qui œuvrent chaque jour pour le compte du groupe ArcellorMittal, Florange étant aujourd’hui réputé pour la qualité de ses aciers revêtus, utilisés essentiellement dans l’industrie automobile mais aussi dans les secteurs de l’emballage métallique et de l’industrie générale.